
Paradoxe du « temps polychronique » ou « polychronie »
Cette semaine, je passe ma plume à Christophe de Reyff. Les lecteurs de mon blog le connaissent bien pour ses commentaires toujours précis et utiles pour comprendre notre environnement spatial. Il est physico-chimiste, Dr ès sciences. Il fut adjoint scientifique à l’Office fédéral (suisse) de l’énergie (OFEN), Section Recherche énergétique. Aujourd’hui, il aborde un sujet très difficile car très contre-intuitif, celui de la relativité du temps qui passe. Il nous fait une démonstration impeccable de la variabilité de ce Temps qui peut se dilater ou se contracter pour l’observateur en fonction de la vitesse (donc de l’énergie) et de la gravité (donc de la masse et donc du lieu).



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